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 Madison Williams ; des mots pour soigner les maux.

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Madison P. Williams
    ▌Admin_ « double trouble ; ange et démon »

Madison P. Williams


Féminin Messages : 74
Date de naissance : 21/10/1992
Date d'inscription : 18/09/2009
Age : 31
Localisation : Poudlard ; loin des autres.

Feuille de personnage
▌Symptôme ;: Migraines, Schizophrénie.
▌Baguette ;: None.
▌Relations ;:

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MessageSujet: Madison Williams ; des mots pour soigner les maux.   Madison Williams ; des mots pour soigner les maux. EmptyDim 4 Oct - 19:56

Madison Williams ; des mots pour soigner les maux. Ei9pav
@ Stella.


    Madison Poesy Williams
    feat. Alexis Bledel

    Nom ; Williams
    Prénoms ; Madison, Poesy
    Âge, Date de naissance ; 16 ans, née le 28 décembre 2041.
    Sang ; Mêlé
    Baguette ; Aucune.
    Patronus ; Panthère Noire.
    Epouvantard ; Les cadavres de deux garçons.


Dernière édition par Madison P. Williams le Lun 5 Oct - 16:56, édité 1 fois
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Madison P. Williams
    ▌Admin_ « double trouble ; ange et démon »

Madison P. Williams


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MessageSujet: Re: Madison Williams ; des mots pour soigner les maux.   Madison Williams ; des mots pour soigner les maux. EmptyLun 5 Oct - 14:22

Racontes-moi ton histoire


« Les pétales d’une Rose rouge sont le plus violent des poisons.. »


      « - Charles.. Charly réponds s’il te plaît.. ouvres-moi.. » suppliait la mystérieuse jeune femme devant la porte, sous une pluie battante.
      « - Rose.. Qu’y a-t-il ? Viens, entres et racontes moi.. » répondit un jeune homme au charme certain et dont la douceur ne laissait aucun doute.
      « - Je.. Il faut.. Je ne sais comment me sortir de cette situation.. » s’effondra la belle suffocant de panique, son homme l’installa dans le canapé, avant de s’accroupir face à elle.
      « - Quelle situation mon Ange ? Explique moi, que puis-je faire ? » interrogea le beau Roméo.
      « - Je suis enceinte, Charles.. et pas de lui.. » finit par déclarer la douce avant de sombrer dans un brouillard de larmes délirant.


    La belle blonde était une jeune aristocrate follement romantique et particulièrement rêveuse, d’une sensibilité à fleur de peau, elle avait rencontré Charles au coin d’une rue de Londres, il suffit d’un regard pour qu’ils tombent dans les bras l’un de l’autre, un regard. Leur histoire se poursuivit au fil de rencontres à la douceur palpable, des mots tendres échangés, des sourires esquissés, une étrange sagesse.. Monsieur était écrivain, excellent poète, il savait faire rougir la jeune femme avec quelques vers, il savait ravir ses sens par quelques lettres sur un bout de papier, tout cela dans le calme d’un parc ou près d’un lac. Jusqu’à un beau jour d’avril où ils échangèrent un baiser passionné au couché du soleil, sur le sable encore chaud d’une plage.. Un baiser qui se changea bien vite en un brasier dévorant, un plaisir sans égal, le coeur enflammé par la chaleur d’une étreinte aussi douce que délicieuse, aussi tendre que furieuse..

    ….........


      « - Et que veux-tu que je fasse ? Que j’avorte, comme les moldus ? Non ! Non bien sûr ! Ce serait tellement dégradant de s’abaisser à leur niveau ! Trouves une solution, James, puisque tu es si fort ! » criait la divine jeune femme à la chevelure blonde.
      « - Ne me parle pas sur ce ton ! Je suis tout de même ton mari, tu me dois le respect ! » s’indignait l’homme ténébreux, debout, face à la jolie nymphe.
      « - Tu ne mérite pas le respect ! Et cesses donc de mettre en avant tes valeurs erronées ! » s’exclama la jeune femme.
      « - Tu vas te débarrasser de cet enfant, quel que soit le moyen, mais je n’en veux pas sous mon toit ! » hurla finalement le diable enragé avant de se retirer.


    Lui, c’était James, un aristocrate anglais aux principes vieux comme le monde, marié à la belle Rose suite à un arrangement parental, et ce uniquement dans le but de préserver la pureté d’un sang sorcier de plus en plus rare à cette époque. La trahison, il ne la tolérait pas de ses amis, alors imaginez bien qu’il ne la toléra pas de sa propre femme, avec un vulgaire moldu qui plus est. Si la demande était plus un ordre qu’autre chose, Rose osa le défier, et finit par obtenir le droit de garder cet enfant, il ne serait cependant jamais considéré comme le sien, oh ça non.. mais le déshonneur était inacceptable, ainsi présentèrent-ils l’enfant à naître comme le leur, l’unique héritier d’une longue lignée de sang-pur. Si en privé le couple se hurlait sans cesse dessus, en public il semblait plus unis que les doigts de la main, un jeu d’hypocrisie et de douleur.. Rose ne revit plus, à partir de cet aveux, Charles.


« Je t’écris de ce rêve de t’avoir tant aimé »


    Perdre.. C’est peut-être exagéré de dire que Rose avait perdu son amant, elle continua à prendre de ses nouvelles durant plusieurs mois, grâce aux hiboux, parfois même elle usait de la méthode moldue, à savoir la boîte aux lettres. Bien évidemment, tout ceci se fit à l’insu de James, qui fut dés lors persuadé d’avoir éloigné tous les risques de perdre le bijoux, le trophée qu’était sa femme. Oui, un trophée, car s’il ne l’aimait pas vraiment, elle restait un atout majeur pour se faire bien voir, en effet elle était cultivée et particulièrement douce, et il faut bien l’avouer, suffisamment belle pour attirer la jalousie des hommes, comme des autres femmes qui ne se plaindraient pas de lui ressembler.

      « Du manoir de **, le 28 juin 20**
      Mon bien aimé, je suis très sincèrement désolée d’avoir disparu telle une voleuse, mais il aurait été trop risqué de te revoir, James ne cesse de me questionner, et je ne saurais lui mentir.. Qui sait de quel sort serait-il capable d’user ? Enfin, je ne vais pas t’ennuyer avec ce genre de chose, je sais que tu n’aime pas cela. J’ai obtenu le droit de garder le bébé, notre enfant, je te promet d’en prendre soin, et j’espère qu’un jour tu auras l’occasion de le voir. Saches que tu resteras à jamais dans mon coeur.
      Tendrement, ta Rose..
       »


    Des lettres telles que celle-ci, il y en eu plus d’une. Charles ne se priva jamais d’y répondre par de tendres poèmes et de douces déclarations. Evidemment, imaginer que son enfant sera élever par un sorcier, par un autre homme que lui ne fit pas son bonheur, mais qu’y pouvait-il ? Absolument rien, après tout il n’était qu’un pauvre mortel éprit d’une belle muse. Et puis je suis arrivée. L’enfant que portait Rose, c’était moi, une petite fille, au grand dam de James qui espérait avoir au moins la chance de voir naître un fils. Je fus baptisée Madison - allez savoir pourquoi - Poesy – en hommage à mon écrivain de père, certainement – Williams, le nom de ce père que je n’ai jamais voulu reconnaître tant j’étais différente de lui, et puis après tout, je n’ai jamais eu de lien sanguin avec cet homme.

    Née sous une mauvaise étoile, c’est souvent ce que je me suis dit, et ce à cause de la façon dont je fus traitée durant toute mon enfance. Peu après ma naissance, un an environs, ma mère mit au monde une autre petite fille, ma rivale, mon opposée, la Melody de James. Chacun sa fille, si Rose était un ange avec moi, elle se montrait plus froide avec ma demi-soeur, et inversement, James était adorable avec Melody, et se montrait sous son plus mauvais jour avec moi.

    Le 28 Décembre 2041 ? Ce fut pour moi le début d’un Enfers sans nom.. et pour Rose se fut le commencement d’une nouvelle vie, de nouvelles tortures.


« La douleur forge le coeur »


      « - Madison, viens ici ! » s’exclama Rose en bas des escaliers.
      « - Toi aussi Melody, j’ai quelque chose pour toi ! » suivit la voix de James.
      « - Oui ? Qu’est-ce qu’il y a ? » répondis-je en arrivant au rez-de-chaussée.
      « - Quelque chose pour moi ? Qu’est-ce que c’est ? » poursuivit Melody, ne manquant pas de me pousser au passage sans que je ne dise quoi que ce soit.
      « - Il y a un lettre pour toi.. Je suis certaine que cela va te plaire.. » m'annonça avec douceur la belle et triste Rose.


    Ce jour là je reçu la lettre tant attendue de Poudlard, ouverte durant l'année 2050 après 24 ans de fermeture.. Il fallait avouer que la situation politique était catastrophique, que la magie se faisait rare et que j’avais eu l’incroyable chance de naître chez un homme plus que haut placé. J’avais au moins un minimum de connaissance sur l’histoire grâce à l’immense bibliothèque du manoir, mais jamais ô grand jamais je n’aurais droit à l’outil indispensable du sorcier, à savoir la baguette. Ainsi fus-je une des ces élèves dépourvue de baguette qui posaient problèmes aux professeurs et à la nouvelle directrice de l’école. Poudlard devint vite mon refuge, j’étais habituée aux moqueries et à la façon dont les gens pouvaient rabaisser ceux que l’on pensait inférieur, je n’y prêtais donc aucune grande attention, alors trop sage pour répliquer. On se demanda d’ailleurs comment la gamine muette et timide avait pu atterrir à Serpentard, c’était sans compter sur mon ambition et les talents que je possédais déjà sans en avoir toutefois conscience.

    La première année fut, pour moi, la plus simple, je n’avais pas ma soeur sur le dos, et les railleries ne m’atteignant pas, je tentais simplement d’user de la magie sans « catalyseur », ce que je parvenais plutôt bien à faire, et ce à force de volonté, je n’aimais pas la défaite, je détestais l’échec, je hais d’ailleurs toujours cela, ce qui explique certainement mon incroyable ténacité dans certaines situation, celle-ci notamment. Mais lorsque Melody entre en première année à la célèbre école de sorcellerie, avec une baguette en poche qui plus est, ce fut l’explosion de toute la colère que j’avais nourri à son encontre. J’ignorais, en ce temps là, que la contradiction ressentie modifierait à jamais le cours de mon existence, mais ce sera pour plus tard.

    L’ambiance familiale dégénéra rapidement, Rose ne contenant plus les larmes, James ne maîtrisant plus ses excès de violence, Melody adorant se jouer des pire situations, je me retrouvais au centre d’un théâtre désolant, pathétique, voire même tragique. C’est ainsi que je me suis réfugiée dans l’écriture, noyant mes maux dans les mots, plongeant les mots du coeur au coeur des mots, en espérant pouvoir échapper à tout ce qu’il se passait autour de moi. Je détestais l’impuissance, en grande sensible digne de ce nom. Et c’est en fouillant dans le bureau de ma mère pour trouver du papier que j’ai découvert le pot aux roses..

    « De Paris, le 31 décembre 2041.
    Ma Rose, je me suis exilé à Paris pour tenter de reformer les éclats de mon coeur brisé entre les doigts de ton mari. Je suis heureux que ma petite fille aille bien, je t’en supplie, transmet lui nos premières lettres, nos premières douceurs, qu’elle sache d’où elle vient.. Je ne veux pas qu’elle croit que son père est un homme sans coeur, un aristocrate ingrat face à ce cadeaux de la vie. Madison, c’est un bel hommage à ma mère.. Je te remercie d’avoir pensé à lui donner quelque chose venant de moi, Poesy, c’est admirablement bien choisi.
    Je prie pour la connaître un jour, en attendant, je te dis adieux ma douce..
    Charles.
     »

    J’ai ainsi appris, du haut de mes douze ans, que James n’était pas mon père, que le mien se nommait Charles, écrivain de renom chez les moldu, et que je n’avais plus aucune raison de me laisser traiter de la sorte, car au fond, quelque part, j’étais désirée plus que tout au monde, tel le plus précieux des joyaux.


« Double Je »


      « - Tiens, qui voilà.. » fit remarqué la mystérieuse.
      « - Mademoiselle Williams, quel plaisir ! » s’exclama le beau brun.
      « - Alors dis moi, quelles sont les nouvelles ? » a demandé la jeune femme au regard malicieux.
      « - J’ai réussi, au grand dam de la concierge d’aileurs.. Dommage que je ne puisse me venter de cet exploit.. » a répliqué l’intriguant garçon, s’approchant de la jeune fille aux yeux saphir avec un air de défis habituel entre eux.
      « - Hum.. Est-ce une invitation à faire mieux ? Tu sais que tu ne peux pas gagner face à moi.. » a affirmé la demoiselle, une étincelle tentatrice dans l’océan de ses yeux.
      « - Face à toi, peut-être pas, mais face à elle.. c’est une autre histoire.. » a répondu le Serpentard, provocant sa camarade en jouant avec une mèche rebelle de ses chevelure noisette.


    Des discours, des dialogues comme celui-ci, il y en a souvent. Lui c’est Nathanaël, un Serpentard que beaucoup ne parviennent pas à supporter et avec qui je m’amuse énormément, c’est à celui qui saura dépasser les limites de l’autre, c’est également un confident hors pair, il est le seul à savoir pour mon secret, le seul à qui je peux me confier si besoin est, je dois avouer que parfois, je me demande ce qu’il est exactement pour moi. Mon secret ? Hum.. C’est un peu compliqué, les scientifique vous dirons que je suis atteinte de schizophrénie, mais les scientifiques n’étant pas au courant, ils ne pourront rien vous dire. Apparemment, ce serait dû au virus qui cause la panique dans les couloirs et force des clans à se former, je dois dire qu’il m’est un peu difficile de m’allier aux uns ou aux autres dans mon état, alors je me contente d’agir selon mes propres règles, préférant ne pas juger en fonction de la possession ou non d’une baguette.
    L’avenir semble bien sombre, et cette sixième année risque de ne pas être de tout repos, je crains cependant que l’école ne finisse par fermer, ce qui serait pour moi, un véritable drame..




Dernière édition par Madison P. Williams le Mer 7 Oct - 14:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Madison Williams ; des mots pour soigner les maux.   Madison Williams ; des mots pour soigner les maux. EmptyLun 5 Oct - 16:56

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    Pseudo | Prénom : Hum.. M. ? Very Happy
    Âge : 17 ans, presque.
    Fréquence de connexion : 6/7, au minimum.
    Expérience RP : 5 ans.
    Mot de passe : A. A. A. H !
    Quelque chose à dire ? : Nope !
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